Rat Queens

Pendant longtemps, j’ai raconté à qui voulait l’entendre que les liseuses, c’était pas pour moi. Parce que moi, monsieur, j’aime le papier. Et je le pensais réellement. Mais à l’époque, je n’avais pas un poids calculé de plus de deux tonnes et demi de papier dans ma bibliothèque.

J’ai craqué l’an dernier, en achetant une liseuse. J’en ai pris une couleur parce que les specs me plaisaient bien, pas vraiment pour la couleur (encore que, avoir des couvs en couleur, ça me plait aussi). Par contre, j’avais clairement dit que c’était essentiellement pour les bouquins académiques, les bouquins que je n’avais pas envie d’entasser dans ma bibliothèque. Parce que les romans, les BD, c’est sacré !

Bon, évidemment, je suis tombé sur un Humble Bundle de romans de l’univers WH40K, et j’ai maintenant tout un tas de romans, que très honnêtement je n’aurai pas acheté au format papier, vu la multitude. Mais j’ai tenu bon concernant les BD, ça j’y tiens, c’est sur papier.

Bon, c’était sans compter sur un autre Humble Bundle qui a titillé une corde sensible, celle de Rat Queens. Rat Queens, c’est un comics absolument fabuleux, tellement fabuleux que l’éditeur français s’est arrêté au second tome, me laissant avec ma frustration ! Alors quand j’ai eu la possibilité d’acheter la suite, même si c’était au format numérique, j’ai sauté dessus, forcément. Bon, je ne sais pas encore si je vais les lire sur la liseuse, ou sur le PC, mais je vais les lire, c’est obligé. Parce que ça n’existe pas sur le marché français.

La morale de l’histoire, c’est qu’il n’y a finalement plus aucun tabou à briser sur ma liseuse, tout y est passé !

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Semaine du 11 octobre 2020

Personnes

  • J’ai passé l’essentiel de la semaine dans mon atelier, donc je n’ai en toute logique pas vu grand monde de la semaine.
  • Pour autant, j’avais un repas d’équipe vendredi soir. Les collègues avaient choisi une épicerie italienne qui proposait des planchettes de charcuterie et de fromage. J’avoue que le manque de légumes (à part quelques olives et quelques tomates séchées) s’est fait ressentir. Surtout que s’agissant d’un repas payé par le CE, ça a été l’orgie de bouffe. Finalement, j’en retiens les quelques fromages que j’ai acheté à la fin et qui agrémenteront sympathiquement la semaine.

Woodworking

  • J’ai enfin fini mon canapé lit !! J’y ai passé le plus gros de la semaine, mais je suis bien content du résultat.
  • J’ai fait un aller-retour entre chez mes parents et chez moi pour ramener du bois de chauffage et au passage, j’ai récupéré du bois pour un prochain projet (probablement cet hiver), à savoir, j’avais depuis longtemps envie de construire un banc dans mon jardin avec des morceaux de troncs. Et papa en a plein, tellement qu’il ne sait plus quoi en faire. Allez hop, j’ai aussi ramené ça !
Y’a bien 3m de long. Il faudra forcément ajuster, mais ça va faire une belle surface. Reste à savoir comment mettre tout ça à niveau.
  • J’ai aussi eu une idée sur des petits meubles à faire pour mon poêle à bois. Encore un truc qui m’occupera cet hiver.

Script

  • J’ai enfin récupéré assez de Raspberry Pi 4 pour mettre à niveau toute mon installation (et trouver une utilité aux anciens). Sauf que bon, j’en reste coincé au point de départ, à savoir qu’il serait bon de booter non plus sur une carte SD qui risque facilement de se corrompre, mais sur une clé USB plus résiliente (c’est à priori plus facile avec un RPi4). Mais évidemment, « à priori » signifie que moi je galère ! Mais bon, je n’abandonne pas, j’y arriverai.
  • Au passage, j’ai de nouveaux boîtiers pour ces RPi. Les anciens n’étaient pas compatibles, et de toute façon, le RPi4 chauffant un peu plus, c’était pas inutile de prévoir des boîtiers qui rafraîchissent la machine. Sauf qu’évidemment, il faut alors scripter l’utilisation des ventilateurs, ou accepter qu’ils tournent à plein régime tout le temps. Bon, les scripts existent déjà, hein. Mais en terme de documentation, c’est pas encore ça. J’ai donc passé un peu de temps sur GitHub a commenter des issues et tester des workaround.
Si vous trouvez qu’il y a beaucoup de câbles, dites-vous bien qu’il n’y a qu’un seul RPi qui est branché…
  • J’ai un peu avancé la lecture de Advanced Bash Scripting, mais clairement pas autant que je l’aurai voulu, la faute à beaucoup de bois qui réclamait mon attention. Cela dit, j’ai déjà appris des choses, et ça vient agrémenter ma base de connaissance.
  • Je n’ai pas non plus eu le temps de mettre les pieds sur mon Arduino, et ça m’ennuie beaucoup. Par contre, j’ai déjà deux ou trois idées de ce que je peux faire avec. On verra si je mets mes idées à profit ou pas. D’autant plus que je vais avoir quelques RPi 2 et 3 en rab, donc y’a moyen de faire des projets assez corsés.

Écosystème du jardin

  • J’ai voulu faire un grand nettoyage dans le jardin. J’ai donc retiré tout ce qui était mort. Mais il me reste un plant de courgettes qui fait encore des fleurs, tous mes pieds de tomates donnent encore, et s’ils ne donnent rien, le poivron et l’aubergine sont en très jolie forme, alors j’ai pas eu le courage de les arracher… Au final, j’ai surtout ramassé une bonne quantité de quetsches qui continuent de tomber de trop haut pour que je les cueille.
  • J’ai aussi voulu passer un coup de coupe-fil dans le gazon pour faire du ménage, mais tout ce que j’ai, c’est un vieux coupe-fil avec presque plus rien dans la bobine et un fil qui casse comme rien, donc ça sera pour une autre fois…

Média

  • J’ai avancé la (re)lecture d’Air Gear. Je me souvenais plus de grand chose, mais ce que j’adore avec cet auteur, c’est que ça part à priori normalement, et arrivé à la moitié de la série, il pète un fusible et ça part dans tous les sens. Ca se sent qu’il avait prévu un concept simple et qu’il a fini par partir dans un délire profond qu’il n’avait jamais imaginé au départ, mais c’est très drôle à lire.
  • J’ai lu Savage Avengers. Comment dire… Wolverine, le Punisher, Venom, Elektra, Brother Voodoo et… Conan le barbare !!! Ce qui est énorme, c’est l’autodérision assumée de l’œuvre, avec des phrases énormes comme « Pourquoi il y a un symbiote sur un culturiste à moitié nu ? » C’est pas sérieux, mais qu’est ce que je rigole !
  • J’ai aussi redécouvert Faith No More, et ça aussi, qu’est ce que ça me fait rire… Les clips des années 80, ça ne se démode pas.

L’heure du bilan 2019

En fait non, c’est pas l’heure du bilan 2019. Le bilan 2019 est comme chaque année : du bon et du moins bon. Le contraire serait étonnant. J’ai tendance à croire que 2019 pourrait se résumer en 1 mot : « Stress », mais c’est probablement parce que je projette les derniers mois sur toute l’année. Nan, comme d’hab, j’ai eu des succès, j’ai eu des échecs, je ne me suis pas reposé sur mes succès, et j’ai appris de mes échecs (reste à savoir si j’ai appris les bonnes choses, on verra ça en 2020). Plus globalement, j’ai aussi appris pas mal de choses, j’en ai réappris d’autres, j’en ai mise certaines en pratique, j’ai planifié d’autres, bref, j’avance, et ça c’est devenu essentiel pour moi.

Mais assez parlé de 2019. C’est une année de plus que je ne changerai plus, alors autant se concentrer sur celle à venir. Et si sur Habitica, beaucoup de gens me réclament le défi annuel des bonnes résolutions, je me suis dit que pour ma part, je n’allais pas faire de résolution cette année. Pas que ça ne marche pas, au contraire, jusqu’à présent j’ai toujours réussi à m’y tenir. Mais j’ai envie d’essayer autre chose, et au hasard de mes lectures, j’ai trouvé une méthode qui me plait, à savoir non pas définir un objectif, mais plusieurs pistes d’amélioration, plusieurs tendances que j’aurai envie de suivre. Alors voilà ce que j’aimerai faire en 2020.

  • Rencontrer / passer plus de temps avec des personnes passionnées. C’est une révélation qui m’est venu il y a plusieurs années maintenant, mais rencontrer des gens qui vivent leur passion, s’est avéré être une véritable motivation pour moi. Je parle surtout de développement personnel (mon voisin qui est passionné de jeux vidéo, c’est plus du consumérisme), même quand c’est pas un domaine qui me concerne ; pour ne citer que quelques exemples, qu’il s’agisse de Kemal et la photographie, d’Aline et le trail, de Phèdre et le zéro-déchet, de Steph l’UX, … la passion est contagieuse, et être au contact de gens passionnés m’encourage à aller plus loin dans mes propres passions. Alors j’aimerai rencontrer encore plus de personnes comme ça, et passer encore plus de temps avec celles que je connais.
  • Créer une base de connaissances. C’est un projet que j’ai depuis longtemps, mais que j’ai toujours eu du mal à rendre utilisable, parce que le plus souvent je créais des notes que je n’allais plus relire ensuite. J’ai essayé de gérer autrement en début d’année, à base de syntaxe markdown et todo.txt, et avec une synchro basique, d’abord par dropbox, puis par Syncthing. Et juste quand ça commençait à prendre, j’ai découvert org-mode. Alors bon, la courbe d’apprentissage sur org-mode n’est pas neutre, mais j’y arrive de mieux en mieux, et je commence à avoir les idées claires sur mon organisation. Et si au départ c’était surtout une façon de gérer plein de petite choses, quasiment tout ce qui m’arrive (genre par exemple, une chaudière qui tombe en carafe un 25 Décembre, et qui est réparée en 5 minutes avec un bout de plastique par le réparateur) me fait dire qu’il faudrait que je me fasse une base avec tout ces petits trucs qui gravitent autour de moi et que j’oublie presque aussi vite.
  • Améliorer mes acquis. Parce qu’en fait, rien n’est jamais acquis. Pour le coup, je pense surtout à trois activités : le woodworking, où j’ai découvert plein de façon de faire des choses que je bricolais à la va-comme-j-te-pousse avant ; le scripting, où j’ai redécouvert les joies de coder des petites choses pour automatiser pas mal de mes tâches ; la dataviz, qui commence à devenir une part essentielle de mon boulot et où il y a tout un art (bien absent de mon métier aujourd’hui) à développer.
  • Continuer de minimiser mon empreinte carbone. C’est un sujet que j’ai vraiment à cœur depuis l’année dernière, et où j’ai fait pas mal de grands pas. Bien que ça ne soit pas directement lié, je case le minimalisme là dedans aussi, parce qu’arrêter d’accumuler des choses chez moi fait partie de ces choses qui me rendent plus serein, réduisent ma quantité de déchets, et ultimement améliorent mon bilan carbone. Mais j’ai pas mal de choses qui pourraient encore être améliorées, des choses simples comme passer intégralement à un éclairage LED, à un peu de domotique pour palier à mes oublis (la lumière de l’atelier, encore et toujours), a simplement faire la majorité de mes courses au marché, en prenant des produits en vrac, locaux, bio… Il y a pas mal de choses que je pourrai encore faire, et certainement plein auxquelles je ne pense pas encore.
  • Rétablir un véritable écosystème dans mon jardin. Ça m’a travaillé une partie de l’été, alors que je refaisais la terrasse. J’ai toujours projeté de refaire complètement le jardin, mais il m’a fallu un peu de recul pour voir que je le gérais toujours en mode automatique, sans réfléchir, et que c’était clairement pas ce qu’il y avait de mieux pour l’écosystème local. Alors, tout ce que je vois à faire ne sera probablement pas fait cette année, mais ça me semble important de m’y mettre, et d’avoir cette réflexion plus basée sur la cohabitation avec la faune et la flore, et comment établir un écosystème capable de s’entretenir tout seul. Et de façon assez contre-intuitive, ça passera invariablement par ruiner l’écosystème existant, en particulier virer les arbres existants, pour en placer d’autres, plus nombreux, mieux choisis, mieux placés, mieux intégrés. Et un peu de réorganisation des espaces.
  • Découvrir, imaginer, rêver, créer, partager, contribuer. Je dirai bien que c’est quelque chose que je fais déjà, mais par essence, c’est quelque chose qui disparaît très vite quand on arrête de le pratiquer. Et donc c’est une activité qui doit se pratiquer en permanence. Il reste que j’ai l’impression de m’être ouvert à beaucoup de choses au court de cette année, d’avoir réalisé beaucoup de choses, qui bien souvent m’étaient inutiles, mais trouvaient un intérêt chez d’autres personnes. Et j’ai toujours autant de plaisir à gâter les gens qui comptent pour moi, à les surprendre avec des idées souvent loufoques, qui me sont venues de la façon la plus incongrue qui soit. C’est quelque chose que je ne veux surtout pas perdre.

C’est déjà pas mal, et je vais essayer de me canaliser là dessus, parce que ça me semble réalisable, mais ça pourrait ne plus l’être si je rajoute d’autres choses. J’aviserai de toute façon au fur et à mesure de l’année, et c’est tout l’intérêt de ne pas avoir une résolution définie. Et pour les personnes qui lisent ça, comme je sais que vous êtes formidables, j’espère pouvoir compter sur vous pour soutenir mes efforts tout au long de l’année.

Une occupation pour quand il fait froid

Pour avoir passé quelques soirs collé au poêle à bois, en attendant mes nouveaux vélux, j’ai trouvé une occupation qui m’amuse beaucoup, et que j’aurai du reprendre il y a déjà un moment : le filtrage. En l’occurrence, le filtrage de tous les flux RSS que je suis.

J’avais déjà récemment fait pas mal de ménage dans mes flux, et il doit m’en rester une bonne centaine, mais ça veut pas dire pour autant que tous les articles m’intéressent, en particulier sur les flux assez généralistes (je pense en particulier à ce qui touche la tech). J’avais bien quelques filtres déjà en place, mais il faut dire que c’était plus rapide de dérouler les articles et simplement zapper ceux qui ne m’intéressaient pas. Enfin, ça c’est en réfléchissant à court terme. Reste que par mon boulot, je suis le premier à dire qu’on gagne du temps en éliminant les faux-positifs à la source, plutôt que de les soumettre à l’avis du public.

Et donc, j’ai commencé à tagger de façon plus agressive les articles qui en l’état ne m’étaient d’aucun intérêt. Et ensuite, il faut trouver quelle expression régulière (et quel critère) va permettre d’éliminer l’article du flux sans éliminer des articles pertinents. Et d’avoir la surprise, en testant, de voir qu’en fait j’élimine plein d’articles que j’avais oublié de tagger mais qui sont finalement aussi de peu d’intérêt.

Tout ça commence déjà à me faire gagner un peu de temps sur mes lectures quotidiennes. Et j’ai bon espoir qu’avec un peu de patience, j’arrive à y passer encore moins de temps, et à n’avoir que la substantifique moelle des informations qui m’intéressent. Tout ça en m’amusant.

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Des projets et de l’informatique

Je ne bricole pas que des choses à la main, il m’arrive toujours de bricoler des choses sur ordinateur, en fonction de ce qui me botte. Mes projets du moment se limitent à peu de choses en comparaison de mes travaux manuels, mais vu la météo, c’est aussi bien de pouvoir travailler en intérieur.

  • Syncthing : J’ai déjà parlé précédemment de Syncthing, c’est un candidat valable pour remplacer (dans mon contexte) des solutions propriétaires comme Dropbox ou Google Drive. C’est d’autant plus amusant qu’on peut vraiment synchroniser comme on veut en fonction des machines. Certains répertoires du PC se synchronisent sur le NAS, certaines répertoires du mobile sur le PC et réciproquement, la tablette sur le PC, et mes serveurs Raspberry Pi un peu partout… J’avance l’installation des différentes instances au fur et à mesure, je joue avec le paramétrage, j’efface et je recommence pour avoir un truc plus propre, et souvent il me prend l’envie de changer mon paradigme de sauvegarde.
  • OpenHAB : Je suis tombé là dessus par hasard en explorant F-Droid. OpenHAB est une plateforme de gestion domotique. Bon, en soi, la domotique ma souvent laissé de marbre parce que j’ai du mal à robotiser mon intérieur, et à consommer plus d’électricité pour faire moins d’efforts physiques. C’est pas le principe, chez moi. Mais… OpenHAB peut s’installer sur un Raspberry Pi, et en soi, c’est prévu pour s’interfacer avec un maximum de choses sans avoir besoin de faire appel à un produit spécifique. Sans trop y réfléchir, ça s’est interfacé avec mon media center, mon ambilight, l’éclairage LED de ma chambre, ma freebox, et quelques autres trucs. Moyennant un peu de bricolage, je peux aussi connecter ma radio internet, par exemple. Et là, je me dis qu’il y a un intérêt certain. Non pas de fainéanter, mais de corriger mes étourderies. Combien de fois je laisse la lumière allumée à la cave par erreur ? Combien d’appareils je laisse branchés à l’atelier ? Combien de fois j’oublie de couper le radio réveil quand je suis en déplacement ? C’est pas garanti que j’arrive à résoudre tous ces problèmes, mais ça vaut le coup de creuser. Et en plus ça m’amuse.
  • Emacs & Orgmode : Celui là, c’est un conseil d’Aline, pour tout ce qui touche à la prise de notes et la gestion de todo. J’ai d’abord douté un peu, parce que j’avais précédemment tenté le frère ennemi d’Emacs, Vim, et j’avais pas réussi à accrocher. Mais il faut dire qu’elle me l’a bien vendu, et que même s’il s’agit d’un mode spécifique à Emacs, ça reste de la manipulation de fichier texte, donc je ne reste pas enfermé dans un outil quelconque (on est d’accord qu’avec Emacs, c’est quand même plus pratique). Comme le gros de l’outil est prévu pour utiliser les milliers de raccourcis claviers, je suis en phase d’apprentissage. Pour l’exercice, je tiens une liste assez exhaustive de mes tâches à faire, et autant dire que j’ai assez rapidement réussi à faire une loooooongue liste de trucs … Ca veut pas dire que ça prendra, mais ça vaut la peine d’essayer.
  • Aria2 : Celui-là, je n’y ai pas encore touché, mais ça me démange de remonter mon serveur de téléchargement sur Raspberry Pi. Et puis surtout je crois que je suis curieux de savoir à quoi ça ressemble une fois en place. Ca veut probablement dire que ça ne tiendra pas longtemps en place, mais peut-être que j’aurai tort. Le seul moyen de le savoir, c’est d’essayer.
  • CardDav & CalDav : Un vieux projet que j’ai pas abandonné, à savoir auto-héberger un outil qui me permette de synchroniser mon téléphone en CalDav et CardDav, pour ne plus dépendre directement de Google pour mes contacts et mon calendrier. J’ai quelques pistes en tête, mais il me faudra un peu de temps pour faire une installation sérieuse et qui devra être proprement backupée si je veux faire un switch définitif.

Et surtout, tout ces projets sont une bonne raison de faire une pause dans un autre projet que j’ai démarré récemment, et qui m’a déjà bien gonflé en très peu de temps, en l’occurrence refaire l’auvent dans mon jardin. Le problème de base était que le toit de cet auvent était en vieux plastique, qui était à la base transparent, mais avec les années, était devenu totalement opaque. Et abîmé. J’ai vite compris que c’était pas juste du plastique, mais probablement du PRV. Je l’ai compris quand, en essayant de dévisser le tout, j’ai commencé à avoir des démangeaisons persistantes sur les bras. Le fait est que la surface était tellement flinguée que je frottais les bras sur la fibre de verre, et c’est une trèèèès mauvaise idée en général. Mais je reparlerai de ce projet là un peu plus tard.

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WordPress 5.0

Woohoo !! Ca fait maintenant quelques temps que je suis passé à la dernière version de WordPress (j’avoue que je ne me pose jamais la question, j’update dès que possible, réflexe de sécurité), et j’avoue que ça fait presque autant que je ne pouvais plus écrire d’article parce que leur nouvel éditeur d’article plantait au lancement…

Bon, réflexes classiques :

  • Je désactive tous les plugins (j’en avais 2) > pas mieux
  • Je mets le thème par défaut > pas mieux
  • Je vide le cache du navigateur > pas mieux
  • J’installe un autre navigateur > pas mieux

Là, ça commence déjà à me gonfler… alors je laisse passer quelques jours. C’est pas comme si j’avais des choses vraiment intéressantes à dire de toute façon.

Et puis, comme j’ai récemment activé le serveur VPN de ma box pour m’y connecter avec mon smartphone, et que j’ai installé une bonne console SSH, j’ai commencé à bricoler mon serveur entre deux réunions au boulot.

  • Nouvelle base de donnée vierge > pas mieux
  • Nouvelle installation de WordPress > pas mieux
  • Nouvelle installation et nouvelle base de donnée (oui, j’aurai du commencer par là) > pas mieux

Ouuuh, là ça commence à me courir sévère. Surtout que …

  • En utilisant le navigateur du smartphone ou de la tablette > C’est über-chiant, mais ça marche

Là je censure ma réaction qui fera peur aux âmes sensibles.

Whatever, ce soir je me dis que ma seule solution (parce que je refuse de revenir à l’ancien éditeur, le changement a du bon), c’est de passer par les forums de support de WordPress. J’ai une expérience des forums de support assez désagréable, mais bon… Bref, je suis bête et discipliné, je me farcis toute la FAQ de troubleshooting pour diagnostiquer au mieux le soucis. Je tombe sur des messages d’erreur un peu plus parlant, je cherche, je trouve rien, puis je cherche encore, puis encore, puis encore… et enfin, une lueur d’espoir… Ca pourrait venir de la configuration du site sur le serveur, et de comment il appelle les pages… Le truc où de base je suis de loin pas un expert, juste un bricoleur qui sait lire la documentation (j’ai eu assez de RTFM pour savoir commencer par RTFM). Je bidouille un peu, ça ne marche pas. Je bidouille un peu plus, et là, (r)Amen, ça marche !

Et donc après avoir épuisé de grosses quantité d’adrénaline dans mes veines, après avoir eu envie de prendre un dev pour taper sur un autre, me revoilà… Enfin !

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Quand on sait pas méditer, on trouve autre chose !

Parmi mes nombreuses recherches sur le développement personnel, j’arrête pas de lire que la méditation est quelque chose d’essentiel. Ca a l’air d’être le hot topic du moment. Bon, j’étais pas forcément convaincu, mais surtout, la méditation, c’est vague. Mais je suis curieux, donc je fais mes recherche. Ok, première étape : se vider la tête. Merde, moi qui croyait que c’était le but recherché, donc la dernière étape, me voilà bien.

Okay, alors comment on fait ça ? Commençons par ne penser à rien. Bon, ça commence mal, on va déjà couper la musique, parce que sinon je chante dans ma tête. Ah, je vais aussi fermer les yeux, parce que tout ce que je vois pourrait potentiellement intégrer un de mes projets. Ok, maintenant je ne pense pas au boulot, je ne pense à personne, je ne pense pas à mes projets justement, ce qui me fait dire que … merde, je suis déjà en train de me refaire les plans de l’entrée de la maison…

Force est de constater que j’arrive à me vider la tête aussi facilement que si j’essayais de vider mes canalisations d’eau en ouvrant le robinet. Ah oui, y’a de l’eau qui sort, et je peux attendre qu’il n’y en ait plus. Mais je vais vite avoir un employé municipal qui va venir voir si j’essaye de faire Waterworld dans mon jardin.

Par contre, ce qui marche bien pour me vider la tête, c’est les expressions régulières (oui je suis bizarre, c’est pas nouveau). En particulier, je fais le ménage de printemps (ou d’été, on s’en fout) dans mon Tiny tiny RSS, et après avoir supprimé quelques dizaines de feeds, je commence à mettre à jour sérieusement mes filtres à l’aide de la toute puissance des regexp. Vu le temps que je passe sur Tiny tiny RSS, filtrer me fais gagner un temps considérable, et en plus c’est amusant.

Et c’est peut-être aussi une des raisons pour lesquelles je fais fuir les filles.

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Back online

Il semblerait que ce blog revienne tout doucement en ligne.

Merci à mon FAI qui a passé ma connexion en fibre optique, mais pas vraiment merci de m’avoir changé d’adresse IP, et certainement pas merci pour m’avoir pris une semaine à comprendre que ma nouvelle adresse IP était partagée avec 4 autres personnes, et qu’il fallait demander une IPv4 full-stack pour que mes serveurs redeviennent accessibles. Il ne reste plus qu’à attendre la propagation des nouveaux enregistrements DNS pour que le monde entier soit au courant de ma nouvelle adresse. Reste à comprendre pourquoi je n’ai que la moitié de mes adresses qui sont accessibles, et l’autre qui tombe en timeout, mais ça peut attendre un peu plus tard.